Avion peu économique


Vous avez remarqué son immatriculation ?

 

(Merci à Alain , pour m’autoriser à publier la photo de ton avion ! )

Photo de classe


Quelques jours après la rentrée des classes, on procède à la traditionnelle photo.
La semaine suivante, l’institutrice essaie évidemment de persuader les enfants d’en acheter une chacun.

« Pensez à l’avenir, vous serez bien contents dans quelques années,  quand vous serez grands, de vous dire en regardant la photo: 

 
 Tiens, là c’est Julie, elle est médecin maintenant ou encore là c’est Kevin, il est ingénieur et là c’est Amélie, elle est manucure … ».
 
A ce moment une petite voix se fait entendre du fond de la classe :

« Et là c’est la maîtresse Mme Planchon, elle est morte ! »

Virades de l’espoir


Hier soir, comme chaque année, c’était le repas pour les virades de l’espoir à Laissac. Toujours autant de monde,, au menu charcutaille, moules frites, fromage et dessert.
Today, marche à Moyrazès avec lacher de ballons
Bisou E
 
Donner son souffle pour ceux qui en manquent.

 

Il meurt lentement (Neruda)


Il meurt lentement celui qui ne voyage pas,
Celui qui ne lit pas,
Celui qui n’écoute pas de la musique,
Celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux.
 
Il meurt lentement
Celui qui détruit son amour-propre,
Celui qui ne se laisse jamais aider.
 
Il meurt lentement celui qui devient esclave de l’habitude
Refaisant tous les jours les mêmes chemins
Celui qui ne change jamais de repère,
Ne se risque jamais à changer la couleur
De ses vêtements
Ou qui ne parle jamais à un inconnu
 
Il meurt lentement celui qui évite la passion
Et son tourbillon d’émotions
Celles qui redonnent la lumière dans les yeux
Et réparent les coeurs blessés
 
Il meurt lentement
Celui qui ne change pas de cap
Lorsqu’il est malheureux
Au travail ou en amour,
Celui qui ne prend pas de risques
Pour réaliser ses rêves,
Celui qui, pas une seule fois dans sa vie,
N’a fui les conseils sensés…
 
Vis maintenant !
Risque-toi aujourd’hui !
Agis tout de suite !
Ne te laisse pas mourir lentement !
Ne te prive pas d’être heureux !

Un peu de culture


Un peu de culture, ! pour revenir aux sources et corriger notre orthographe !
 

Voilà l’histoire d’une expression connue de tous, mais très souvent mal orthographiée.
 

Par un beau jour d’automne 1820, le duc de Mirnouf, passionné par la chasse mais frustré par le maigre gibier qu’il ramenait de ses pérégrinations forestières,
imagina qu’il devait être possible de fabriquer un outil apte à lui faciliter la tâche et rendre plus plaisante sa traque des animaux.

 

Il convoqua tous les artisans de la contrée pour mettre au concours la concrétisation de cette idée
et leur laissa deux mois pour fabriquer le plus inventif et le plus efficace des appareils.

 

A peine une semaine plus tard, un marchand du nom de Martin Écouille, se présenta au château clamant à qui veut l’entendre qu’il possédait ce dont le duc rêvait.

 

Il obtint sans peine une audience auprès du noble seigneur et s’empressa de lui faire la démonstration de sa merveille.

 

Devant une assemblée dubitative mais curieuse, il sortit de sa poche un minuscule sifflet (un appeau) et le porta à la bouche pour produire un son strident qui aussitôt imposa le silence parmi les personnes présentes.

 

A peine quelques secondes plus tard, des dizaines d’oiseaux de toutes sortes s’étaient approchés et virevoltaient autour de lui, comme attirés et charmés par cette étrange mélodie.

 

Le duc imagina sans peine le profit qu’il pouvait tirer d’un tel accessoire lors des ses futures chasses.

 

Il s’éclaircit la gorge et ne prononça qu’une seule phrase : Combien cela va-t-il me coûter ?

 

Martin Écouille, sûr de lui, répondit qu’il accepterait de se séparer de son objet en échange de la moitié de la fortune de son interlocuteur.

 

Cette requête fit sourire l’assemblée mais le duc garda tout son sérieux et accepta la transaction.

 

La nouvelle fit grand bruit et se répandit vite bien au delà des limites du duché.

 

Un marchand avait vendu un sifflet pour une somme astronomique au Duc qui en paya le coût sans broncher.

 

On ne sait plus aujourd’hui ce que le marchand est devenu par la suite et l’objet n’a hélas pas survécu aux années mais cette anecdote a subsisté dans la langue française pour qualifier les objets hors de prix :

 

« Cà coûte l’appeau d’Écouille ».
 

 

Les femmes ont toujours le dernier mot (suite)


Un homme lit le journal et dit à son épouse : – Savais-tu que les femmes utilisent 30.000 mots par jour et les hommes 15.000 ?

La femme lui répond : ‘C’est facile à expliquer, il faut toujours répéter deux fois la même chose aux hommes.’


L’homme se retourne vers elle et dit :  ‘Quoi?’

Les femmes ont toujours le dernier mot


Un couple se balade en voiture à la campagne. Suite à une discussion plutôt acerbe, ils ne se parlent pas.
Passant devant une ferme où on voit des ânes et des cochons, le mari ose briser le silence et dit : «Tiens, de la famille à toi? »
 
Son épouse répond du tac au tac : « Oui, par alliance !»


Petite balade à Najac


Pour cloturer la journée du patrimoine, petite halte à Najac avec restau sympa.
 
 
    

Journée du patrimoine – Musée du verre


Visite également du musée du verre de Carmaux
 
  

Journée du patrimoine 2008 – Souffleur de verre


La journée du patrimoine nous a permis de voir le travail et l’atelier d’un souffleur de verre.